Entre courbes romanes et ethnies fantasmées, les sculptures murales MIRA sont telles des restes enfouis d’une civilisation rêvée que le hasard n’a pas fait exister. Elles incarnent des divinités que l’on contemple autant qu’elles nous observent. En faïence ou en porcelaine, comme sortis du fond des océans, elles interrogent la limite de nos cultures face au temps long.